- Boxe : Tony Yoka remporte son combat face à Joel Tambwe Djeko
- Météo : air dégradé à mauvais sur la région, pollution aux particules fines en Aveyron, ce samedi
- Adidas vend des chaussures d'un mètre de long en collaboration avec un rappeur
- Violences conjugales : les adolescentes également victimes, mais elles peinent à les identifier
- Méditerranée : les daurades adorent les huîtres et raffolent encore plus des moules !
- Coronavirus : nouvelles baisses des hospitalisations et des malades en soins intensifs en Occitanie
- Rugby à XV : Montpellier - Clermont, suivez le match en direct
- Rugby à XV : Béziers réduit à 14, mené à la pause à Montauban (24-13), suivez le match en direct
- 400 doses de vaccin livrées en plus ce week-end à Sète, les inscriptions rouvrent dans l'Hérault
- Coronavirus : la vaccination des soignants, "priorité majeure", leur écrit le ministre Olivier Véran
Bienvenue sur bedarieux.net
CONTEXTE GEOGRAPHIQUE
Le territoire de Bédarieux est marqué par un réseau hydrographique peu important qui a creusé d' étroites vallées dominées par d' imposants ravins qui fragmentent le paysage en plateaux successifs. Le terrain pentu a déterminé un système de cultures sur terrasses et le travail de la terre a demandé un épierrement systématique qui a donné lieu à des abris en pierres sèches (appelées capitelles) , des murets, des buttes artificielles (appelées "clapas") et des cabanes de vigne (appelées masets) qui façonnent le paysage.
CONTEXTE HISTORIQUE
L' activité agricole est recensée sur le causse dominant l' agglomération de Bédarieux au début du 19e siècle (pâturages, quelques constructions à vocation agricole à proximité des voies de circulation et de la vigne) . L' essor de l' activité industrielle et le fort accroissement démographique entraîne un besoin de terre accru pour la population urbaine et le développement d' une agriculture mixte sur le causse. La mise en culture du causse a été accompagnée de constructions légères en pierres sèches (capitelles) puis de masets (cabanes en pierres sèches ou en moellons de calcaire) . Ces constructions sont entreprises dès le 2e quart du 19e siècle (1843, date portée) et se développent dans la deuxième moitié du 19e siècle et dans la 1ère moitié du 20e siècle, parallèlement à une exploitation plus importante de la vigne.
Source : http://www.culture.gouv.fr (Ministère de la culture)